BARU (23-24 novembre 2010)
Après avoir quitté CARTAGÈNE et son ambiance animée, nous étions heureux de nous retrouver dans un endroit plus tranquille tel que BARU. L’endroit était tout désigné pour mettre à profit les talents de nos “Rois du Surf”.
Malgré son aisance sur la planche de Wake-board, Guillaume se fixe de nouveaux défis; ces jours-ci, il s’affère à réussir un tour complet sur lui même. Lâche-pas Ti-lou!
Et notre recrue Olivier apprend bien vite!
Un sourire vaut mille mots!
SAN ROSARIO (18-19 octobre et 25 novembre 2010)
Notre activité vedette à SAN ROSARIO : visite de l’aquarium.
Comme je l’ai déjà mentionné, nous ne sommes pas fervents des aquariums ayant déjà été échaudés, mais là, nous ne regrettons pas d’avoir osé!
Superbes installations extérieures; l’aménagement est parfait, allant de répliques en fibre de verre installées un peu partout, aux passerelles permettant de traverser d’un bassin à l’autre.
Le spectacle de dauphins a ébloui petits et grands!
Également, le moment où ils ont nourri les requins en a épaté plus d’un! Ils étaient tous excités à l’idée de prendre leur repas; dès qu’on leur a dit : calma! Ils se sont tous calmés. Et quand on leur a demandé de se présenter un à la fois sur la plate-forme, systématiquement, ils ont attendu qu’on les nomme avant de remonter.
Si vous avez la chance de visionner le documentaire “Requin en péril”, il permet d’en apprendre beaucoup sur cet animal suscitant tant de peur chez l’être humain.
Nous aimerions beaucoup en voir un comme celui-là à la cime des arbres lors d’une randonnée. D’ailleurs, nous en avons vu quelques-uns lors de nos randonnées dans la Sierre Nevada, mais nous étions beaucoup trop loin pour en apprécier les détails. La COLOMBIE et le PANAMA sont deux pays habitants ces superbes toucans.
SAN BERNADO (26-27 novembre 2010)
Une tige de bois pour le mat et un bout de tissu noir faisant office de voile; voilà tout pour rendre ces hommes heureux qui nous saluent d’un large sourire et continuent leur route!
L’une des quatre maisons construites sur pilotis.
ISLOTE, îlot à fleur d’eau contenant autant de maison que sa superficie peut le permettre. Ses habitants racontent que leurs ancêtres ont fui l’île voisine Tintipan infectée par les moustiques; ici ils sont tranquilles.
Comme c’est samedi, les rues sont débordantes de vie; pendant que les enfants jouent au ballon, les grands jasent sur le cadre de porte.
Un petit marché offre l’essentiel; pour le reste, ils vivent de la pêche. 2-3 fois par semaine, quelques habitants vont sur le continent en lanchas faire le plein de provision pour la totalité de la population. Ils vivent paisiblement comme une grande famille.
Dès que nous quittons MYRIAM en zodiac, nous nous faisons pas mal brassés par la mer un peu agitée; ici, nous avons trouvé le calme dans les mangroves.
ISLA FUERTE (28-29 novembre 2010)
S’il est vrai qu’ISLA FUERTE comporte de beaux trésors naturels, plus encore s’y trouve la chaleur humaine d’un peuple accueillant et généreux!
Trois gigantesques arbres parsèment l’île :
Le Bonga (famille des Baobabs)
El Tuntun; vous voyez son œil?
Et l’arbre qui marche; arbro que camina (famille des Ficus). Ses lianes s’enracinent formant à leur tour les branches.
Nos deux guides de la journée : Luis et Tato qui étaient bien fiers lorsque nous leur avons remis cette photo imprimée.
Les enfants sont au cœur de cette richesse; ils sont nombreux et omniprésents.
Femmes et enfants font le lavage.
Corvée d’eau avec le sourire bien sûr!
Si “cute” ce garçon avec son cerf-volant qui a lui-même fabriqué.
Habiles à tous les âges!
Nous avons eu le plaisir de rencontrer Sylvia, française d’origine, ayant adopté FUERTE il y a une vingtaine d’années. Elle y a trouvé mari, ont eu deux beaux enfants; lui est décédé, elle, est restée auprès de sa nouvelle famille. Quelle générosité cette femme! Sa cour est bondée d’enfants du voisinage. Et dès que nous arrivons, elle installe des chaises pour nous accueillir, prépare une orange aux garçons et ne veut pas que nous repartions. Nous ne sommes pas habitués à ça; instinctivement, nous avons peur de déranger. Nous jasons de nos vies quelques instants, elle nous parle de son amour pour son pays d’adoption. Elle nous montre son artisanat; nous achetons un bracelet fait à partir de noix de coco. Puis nous repartons forts remplis de cette rencontre bien inspirante!
Notre dernier mouillage de la COLOMBIE; à l’image de ce pays et de son peuple simple, accueillant, chaleureux et rempli de beauté qui gagne à être connue!
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